Les négociations pour une sortie de crise dans le secteur éducatif ont recommencé ce jeudi 1er mars 2018, dans la salle des actes du palais du peuple entre gouvernement et syndicalistes.

Les points inscrits à l’ordre du jour sont entre autres : « Le paiement intégral de la valeur indiciaire de 40% avec effet rétroactif, la fixation d’un salaire de base à  8 millions de francs guinéens pour chaque enseignant ».

Selon les syndicalistes, « Ce n’est pas une augmentation ! Mais plutôt la remise des 40% des salaires des enseignants enlevés injustement, sans consultation, lors de l’application de la fameuse nouvelle grille indiciaire en 2016 ».

Au compte de cette deuxième journée de négociations, l’on a constaté l’absence du Secrétaire général du SLECG, Aboubacar Soumah.

Aussi si la première journée, la presse a assisté à tous les débats. Pour cette deuxième journée, elle n’a pas eu l’accès.  Même la délégation syndicale et l’équipe du Médiateur de la République ont été réduites. Donc, les négociations se dérouleront à cette fois si à huis clos.

Oumar M’Böh pour www.lecourrierdeconakry.com  

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