Les lecteurs de l’ancien fleuron de la presse écrite panafricaine vont, sans doute longtemps, regretter la disparition de l’emblématique fondateur de Jeune Afrique, feu Béchir Ben Yahmed.

Son successeur aux commandes de ce journal, qui a longtemps régné sur le paysage médiatique du continent africain, a vendu, à vil prix, son âme au diable pour quelques deniers de Juda depuis une éternité. Mercenaire par excellence de la plume, journaleux alimentaire et corrompu jusqu’à la moelle des os, François Soudan a, dans son viseur, depuis le 05 septembre 2021, le Colonel-libérateur, le bâtisseur, le bosseur intègre, auquel les populations guinéennes s’identifient avec fierté.

François Soudan est en train de tuer, à petit feu, « Jeune Afrique », à cause de son amateurisme démesuré, honteux et préjudiciable au journal et à sa ligne éditoriale originelle. Le pauvre est, décidément, obsédé par son animosité et sa haine viscérale à l’encontre du Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Armées guinéennes, Son Excellence le Colonel Mamadi Doumbouya, le rassembleur, qui occupe une place de choix dans les cœurs de ses concitoyens de tous les horizons. Et comment !

Le 05 avril dernier, le pseudo-journaliste à la petite semaine a repris ses habitudes éhontées et scandaleuses pour tenter, une fois de plus, de ternir l’image du visionnaire, le patriote, Colonel Mamadi Doumbouya.

Dans un tissu de mensonges intitulé « Mamadi Doumbouya et ses discrets réseaux financiers », le colporteur de contre-vérités puériles débite, sans la moindre retenue et toute honte bue, toutes sortes d’inepties hallucinatoires, indignes d’un journal de l’envergure de « Jeune Afrique ».

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En vérité, François Soudan est un gros étron qui ne renonce jamais à ses bévues journalistiques, surtout s’il espère avoir de quoi se gaver avec avidité et voracité sur le dos des dirigeants africains. Malheureusement pour lui, en jettant son dévolu sur le Colonel-bâtisseur Mamadi Doumbouya, il s’est éperdument trompé de cible. Car, il a été envoyé paître quand il a manifesté ses intentions et prétentions financières au Palais Mohammed V.

Le fameux journaliste, comme Judas Iscariot dont c’est la semaine de trahison du Christ, était disposé à lâcher son mentor pour « trente deniers ». C’était mal connaître l’homme de principes et de convictions qu’est le Colonel-patriote Mamadi Doumbouya. Dès lors, François Soudan, face à son éconduite et en guise de vengeance, dégaine chaque fois son pistolet de haine et de mensonges contre les autorités guinéennes.

Peine perdue, car autres temps, autres mœurs. Ce champion de mensonges légendaires, aussi grossiers les uns que les autres, est victime du temps. Le mercenaire sénile ne sait pas, ou fait semblant de l’ignorer, que son avilissement sans limites a longtemps eu raison du peu de crédibilité qui lui restait du vivant de Béchir Ben Yahmed. Plus personne, en Afrique et ailleurs, ne croit à ce mythomane international qui a passé toute sa carrière à mendier dans les palais africains.

« Le chien aboie, la caravane passe ». N’en déplaise à François Soudan et ses financiers commanditaires, tapis dans l’ombre, la caravane de la refondation de l’État et de la rectification institutionnelle de l’État guinéen, sous la houlette et la clairvoyance du Colonel Mamadi Doumbouya, poursuit son petit bonhomme de chemin à grande vitesse. Pour le plus grand bonheur des Guinéennes et Guinéens.

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Avec l’enfant prodige de Kankan Nabaya, c’est la renaissance positive de la Guinée. Wassalam !

Mandian Sidibé

Journaliste

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