Un accident de la circulation s’est produit ce Lundi 17 décembre 2018 sur la route nationale numéro 1 Labé – Conakry précisément entre Labé et Pita aux environs de 11 heures du matin. Le bilan est de trois morts et un blessé a appris la rédaction locale de votre quotidien électronique lecourrieredeconakry basée à Labé.

Il s’agit de deux motos qui sont entrés en collision au niveau de la sous-préfecture de Garamabé où la première victime a rendu l’âme sur place.

La première moto était en provenance de Labé avec deux personnes c’est-à-dire le pilote (un jeune garçon) et sa mère. L’autre moto ,qui transportait également deux jeunes garçons, venait de Pita.

Mamadou Bah connu sous le nom de Banks, le chargé des conflits au niveau du syndicat des transports CNTG de Labé tente de reconstituer les faits : « j’ai été informé par mon chef de ligne qui s’appelle Sara Diouma : nous sommes partis et avons trouvé effectivement que l’accident s’est passé à Garambé et ça impliquait deux motos. On a trouvé sur place un mort. Ils ont  pris le corps et les blessé ont été embarqué dans le véhicule pour les déposer à l’hôpital » explique-t-il.

A l’hôpital régional de Labé, la troisième victime qui était en réanimation a rendu l’âme à en croire docteur Sekouba , le médecin chef du service de la traumatologie : « il y a eu deux dépôt de corps et deux autres blessés. A leur arrivé, nous avons constaté qu’un d’entre eux était dans un état relativement bon alors que l’autre était sous réanimation. Mais au cours de l’opération, il a rendu l’âme. La dernière c’est une femme, elle est en train de suivre le traitement et peut s’en sortir » diagnostique le médecin.

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Barry Mamadou Lamarana est parent de l’une des victimes : « dès que j’ai été informé, je me suis directement rendu à l’hôpital et on est en train de se préparer pour voir comment ramener le corps. Mais entretemps le second aussi a rendu l’âme. Le pilote de la moto s’appelle Alhassane bah et le second Boubacar Bah » affirme-t-il.

Au moment où nous quittions les lieux, la direction de l’hôpital s’apprêtait à rendre les corps aux familles éplorées.

Bah Djenabou Labé, pour lecourrierdeconakry.com

 

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