C’est l’occasion pour les professionnels des médias et  la section Guinéenne de l’Union Internationale de la presse Francophone ( UPF-Guinée) de faire un arrêt sur image pour analyser le parcours afin de mieux s’armer dans l’exercice du métier de journaliste.

Cette célébration interpelle à la fois les professionnels et le gouvernement guinéen, surtout avec le recule effectué en matière de liberté de la presse dans notre pays par rapport au plan mondial, nous renvoyant ainsi à la 104ème place, contrairement à 2017 où la Guinée était à la 101ème place. Ce recule de trois points est assez évocateur des actions qui contribuent à réduire la liberté de la presse en Guinée.

Loin d’engager un quelconque procès ou polémique, la Section Guinéenne de l’UPF demande aux autorités, de non seulement protéger d’avantage les journalistes dans l’exercice dans leur métier mais aussi et surtout, de créer des conditions idoines à leur épanouissement.

Aussi, elle saisit cette journée mondiale pour inviter les journalistes à faire de l’éthique et de la déontologie leur boussole dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information. Ce qui contribue à coup sûr, à faire de notre pays, un État de droit.

Le Président de l’UPF-Guinée

  Ibrahima Koné

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