Le ministère de la justice a animé ce vendredi 2 mars 2018 un point de presse à sa chancellerie dans la commune de Kaloum.  Animé, par le ministre et les procureurs généraux des différents tribunaux de la capitale, les procureurs ont à tour de rôle énuméré les cas d’interpellation enregistré lors des évènements qui ont suivi les élections communales du 04 février.

Le procureur de la république près le tribunal de première instance de Kindia, a affirmé que 24 personnes ont été interpellées dont une  nourrisse qui a été mis en liberté provisoire. « Aujourd’hui,  il n’y a pas de libération mais la procédure suit son cour normal »

Au Tribunal de Première  Instance  de Dixinn, deux catégories de dossiers sont examinées. La Dans la première catégorie 10 prévenus ont été jugés et condamné à des peines d’emprisonnement assorti de sursis  pour trouble du processus électoral selon le procureur de première instance de Dixinn.  La deuxième catégorie concerne les violences post-électorales. «  30 prévenus ont fait l’objet de jugement. Tous ont été relaxés pour délit non constitué »  a indiqué le procureur.

Le procureur du tribunal de Mafanco a quant à lui affirmé que son parquet n’a enregistré aucune interpellation suite aux violences post-électorales. « Les interpellations faites par le PM3 ne relevaient  pas de notre juridiction. Ce sont des personnes qui ont été interpellé dans la zone de Coza », a-t-il indiqué.

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A Kaloum 15 jeunes avaient été interpellé et aussitôt relaxé.

Nantenin Traoré

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